Tandis que l’Association française de l’agriculture urbaine professionnelle (Afaup) ne recensait que six structures professionnelles en 2013, elles sont aujourd’hui 300 à proposer des formes d’agriculture urbaine variées, à vocation marchande ou non, professionnelle, publique ou associative, dans des parkings, usines désaffectées ou sur les toits.
« En reconnectant les citadins et citadines avec le vivant,
l’agriculture urbaine peut offrir les conditions d’une transition
écologique et sociétale, mais aussi alimentaire. À ce titre,
elle mérite d’être soutenue », estime le Conseil économique, social et environnemental (Cese). D’où cet avis publié le mois dernier, dans lequel sont formulées des préconisations visant à soutenir, y compris financièrement, les projets d’agriculture urbaine les plus vertueux et les plus durables, ainsi qu’à offrir des espaces à une agriculture urbaine d’intérêt général, à accompagner les porteurs de projets et à mobiliser tous les acteurs, publics et privés, concernés.
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