Première intercommunalité à décrocher ce titre, la métropole lyonnaise succède à Besançon (2018), Muttersholtz (2017), Rennes (2016), Strasbourg (2014), Niort (2013), Lille (2012), Montpellier (2011) et Grande-Synthe (2010). Le jury composé par l’Agence français pour la biodiversité (AFB), le Cerema et Plante et Cité a notamment reconnu l’énorme travail mené sur le climat et celui sur la place de l’arbre, de l’eau et de la nature sur le territoire lyonnais. En effet, dans son plan Climat et dans son document de planification urbaine majeur (le PLU-H), la métropole fixe des objectifs ambitieux d’augmentation des surfaces d’espaces publics et privés ombragées par les arbres. Elle travaille aussi à la désimperméabilisation des espaces urbains et au stockage de l’eau de pluie dans les espaces verts. Avec ses partenaires, la métropole de Lyon restaure et renature des cours d’eau et leurs berges, offrant ainsi des espaces accueillants pour la faune et la flore. Enfin, elle gère de manière écologique exemplaire de grands parcs, qui sont des poumons verts et des réservoirs de biodiversité. Ils forment autant d’îlots de fraicheur en cas de canicule. Des actions, en somme, qui contribuent au maintien ou à la restauration des continuités écologiques et permettent la bonne circulation des espèces animales et végétales, rendue encore plus indispensable du fait du changement climatique.
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