Greenpeace vient de publier un rapport dans lequel elle s'alarme sur l’exposition inquiétante des sportives et des sportifs à la pollution de l’air à Paris, Lyon et Marseille. Pour arriver à cette conclusion, l'ONG a mesuré les concentrations de dioxyde d’azote (NO2) aux abords de six terrains de football de ces trois villes. « Sur sept sessions de mesures de deux heures, les résultats de six d’entre elles se situent au dessus de la valeur limite annuelle moyenne imposée par l’Union européenne », explique Greenpeace. Aussi, face à cette « urgence sanitaire », l’ONG appelle les responsables politiques « à restreindre le trafic routier en ville en investissant dans les mobilités durables, telles que les transports en commun et le vélo ».
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