Rencontre avec Olivier Richefou, président du conseil départemental de la Mayenne et du SDIS (53)
La Mayenne (53) offre une qualité de vie indéniable. Sa force ? C’est son tissu d’entreprises familiales qui permet de fidéliser les collaborateurs. Mais également son esprit de solidarité véritable. Avec un taux de chômage de 6,5 %, on peut parler de « quasi plein emploi », lance fièrement Olivier Richefou. Mais si le territoire souffre d’un déficit d’image, le président du conseil départemental travaille sans relâche à son attractivité.
QUI ÊTES-VOUS ?
Je suis un citoyen qui s’est engagé dans le monde associatif en adhérant à la Jeune Chambre Économique Française (JCEF) qui offre aux jeunes l’opportunité de contribuer au progrès de la communauté en développant leurs talents, cela m’a donné le sens de la chose politique, dans ma commune, puis dans mon département.
SA DEVISE
« L’HOMME EST LA PLUS PRÉCIEUSE DES RICHESSES ». Un des fondements des valeurs de la JCEF.
SON LIEU PRÉFÉRÉ
Le chemin de halage qui longe la rivière La Mayenne sur 85 km sans interruption et offre de nombreuses surprises aux promeneurs pédestres, équestres ou cyclistes : châteaux, faune, flore, écluses. C’est le pays de la rando.
SES PASSIONS
Ma famille et tous les sports, même si j’ai un petite préférence pour l’escrime que j’ai pratiquée longtemps. J’ai également une véritable passion pour « l’art de convaincre.
SA SOURCE D’ÉNERGIE
Les week-ends en bord de mer, de préférence l’Atlantique. Je regarde la mer et je me promène, cela suffit à faire le plein d’énergie.
SES MEILLEURS SOUVENIRS
Le mariage de mes enfants, un moment symboliquement fort et l’occasion d’un grand rassemblement familial, mais également mon premier mandat de maire. La récompense d’un long engagement.
SES LIVRES DE CHEVET
Celui que j’ai coécrit avec Grégory Allione, président de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France :« Sapeurs-pompiers, un engagement quotidien » ; « Impressions et lignes claires » par Gilles Boyer et Edouard Philippe.
SES FILMS PRÉFÉRÉS
Le roi lion. Ce film est d’une jeunesse éternelle, que j’ai partagé avec mes enfants et maintenant avec mes petits-enfants. Le pull-over rouge est depuis toujours associée à Christian Ranucci, guillotiné en 1976 pour le meurtre d’une fillette deux ans plus tôt, à Marseille. Cette exécution est devenue le symbole du combat contre la peine de mort.
DEMAIN…
Agir encore et toujours et préparer la transmission.