Une enquête nationale pour mesurer les bénéfices du vélo en France
L’Association des Acteurs du Vélo Public (AAVP) lance une première étape structurante vers la concrétisation du Rapport annuel du Vélo Public, avec le soutien technique et financier de l’ADEME.
À partir du 1er mars 2023, une vaste enquête nationale sera menée auprès des collectivités et des usagers afin d’évaluer les multiples bénéfices des services de vélo en France. « Lancer cette enquête marque une première étape fondatrice pour penser la mobilité de demain, explique Caroline Van Renterghem, présidente de l’AAVP. La décarbonation des transports est un enjeu capital pour réussir notre transition nationale et le vélo en est un levier essentiel. Pour atteindre l’objectif fixé par le gouvernement de 12% de part modale en 2030, les services publics de vélos seront au cœur de la solution tout en apportant d’autres bénéfices comme celui de l'accès à la mobilité, notamment dans les zones moins denses. Ils doivent être le prolongement de nos transports publics. Les données fournies par cette première enquête serviront de base pour déployer des services vélos plus intelligents et adaptés avec à la clef, un usage décuplé.» Cette enquête s’adresse à tous les gestionnaires et bénéficiaires de services de location de vélos, opérés par ou avec une collectivité́, qu'ils soient subventionnés ou non et quel que soit leur modèle (vélo en libre-service, vélo en location longue durée, en station ou en freefloating…) La récolte des données s’échelonne du 1er au 31 mars 2023 pour une présentation des résultats en juin 2023.
Annoncé lors de la création de l’AAVP en juin 2022, le Rapport du Vélo Public initie sa première expérimentation de terrain. Dans le prolongement de précédentes études menées par l’ADEME, il vise à mesurer les impacts sociaux, économiques mais aussi écologiques des services de vélos déployés en France par les collectivités et leurs interactions avec les transports publics. Des indicateurs difficilement mesurables jusqu’à présent pourront ainsi être précisés : le report modal généré par les services vélos, leur capacité de remise en selle (création de cyclistes durables), d’amélioration de la santé autant que leur inclusivité géographique et sociale.
Environnement et sécurité : les priorités des Français pour les villes de demain
Les Français seraient en demande d’une ville plus écologique, plus sûre, plus connectée, mieux équipée en vidéo-surveillance et plus respectueuse de leurs données personnelles révèle une étude présentée cette semaine, le développement durable (55%) et la sécurité (51%) étant les deux principales priorités des Français pour les villes de demain.
Comment les Français perçoivent-ils les villes de demain ? Milestone Systems, leader mondial du logiciel de gestion de vidéo IP (VMS) à plateforme ouverte dévoile les résultats d’une grande enquête nationale menée en avril 2021, auprès d’un échantillon représentatif de 1000 Français, par l’institut BVA sur “Les Français et la ville de demain”. Ainsi, plus d’un tiers des Français déclare vivre dans un environnement de moyenne ou mauvaise qualité (37%), un constat d’autant plus valable chez les habitants des villes de plus de 100.000 habitants (50%) et en agglomération parisienne (59%). La limitation de l’étalement urbain et l’aménagement d’espaces verts sont perçus comme les démarches les plus importantes à mettre en œuvre pour améliorer la qualité de l’environnement dans les villes. Dans un objectif d’amélioration de la qualité de l’environnement, la moitié des Français jugent la préservation des espaces naturels incluant la limitation de l’étalement urbain comme la mesure prioritaire à mettre en œuvre (50%). La plantation d’arbres et l’aménagement des espaces verts amélioreraient également la qualité de l’environnement selon 4 Français sur 10 (40%).
Mobilités dans les villes
Près de 4 Français sur 10 (36%) déclarent que les conditions de déplacement dans leur lieu d’habitation ne sont pas satisfaisantes. Et la catégorie d’agglomération a logiquement un impact sur cette satisfaction : les Français habitant en région rurale sont plus mécontents (47%) que ceux résidant dans une ville de plus de 100.000 habitants (31%). Un meilleur aménagement des espaces dédiés à chaque mode déplacement améliorerait la mobilité dans les villes (46%) et serait à mettre en place de manière prioritaire selon les Français, assez loin devant l’optimisation des équipements de la ville (30%) et le développement de l’interconnexion entre différents modes de transport (27%). 20% évoquent comme mesure prioritaire le fait de développer des solutions innovantes pour collecter et centraliser les informations sur l’état du trafic, la propreté...
La sécurité et les données personnelles au cœur des préoccupations
La sécurité est un enjeu majeur pour près de la moitié des Français (44%) qui déclarent se sentir en insécurité là où ils habitent. Une corrélation est observée entre la catégorie d’agglomération et le sentiment d’insécurité : plus le nombre d’habitants est important, plus les répondants ressentent de l’insécurité ; c’est notamment le cas des habitants de l’agglomération parisienne qui sont 54% à l’éprouver. Si l'enquête montre un fort soutien à la technologie vidéo, les sondés expriment également un manque de confiance dans l'utilisation de leurs données personnelles. En effet, 80% des sondés pensent que les caméras de vidéo-protection permettent de rassurer les habitants mais aussi de lutter efficacement contre l’insécurité (70%). 74% se déclarent favorables à l’installation de caméras de vidéo-surveillance si leur commune le proposait. Et si Près de la moitié des Français (45%) perçoivent le recours aux nouvelles technologies dans la ville de demain comme une opportunité, seul un Français sur trois fait confiance à l’Etat au sujet de l’utilisation de leurs données personnelles (33%), la confiance étant encore plus limitée concernant les entreprises privées (19%) et les GAFAM (14%). La moitié des sondés (52%) souhaitent plus de transparence quant à l’utilisation qui est faite de leurs données personnelles.
Les Français plébiscitent les services publics
Alors que les Français s’interrogent plus que jamais sur le sens de l’action publique, le choc du Covid-19 a renforcé la confiance dont ils témoignent vis-à-vis des collectivités locales, des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux selon le baromètre annuel du regard des Français sur le service public local, publié par l'Association des administrateurs territoriaux (AATF) avec Ipsos. Ils sont 79 % à exprimer leur satisfaction à l'égard des prestations fournies par les collectivités locales, et 66 % à considérer qu’après les hôpitaux, les collectivités locales sont les services publics qui ont su le mieux réagir à la crise. En revanche, la crise a accéléré la rupture entre les Français et l’Etat. Seulement 21 % des Français considèrent que les préfectures ont été efficaces face à la crise, et pour 84 % d'entre eux, l'État ne peut plus exercer seul les compétences régaliennes de l'éducation, de la police et de la santé. Selon nos concitoyens, la réponse à la crise passe par une intensification de l’action publique, une accentuation de la transition écologique, et doit s’appuyer sur un rôle accru des collectivités locales.
72% des agents de la Fonction publique estiment avoir été utiles pendant la crise sanitaire
Comment les fonctionnaires ont-ils vécu la crise sanitaire ? C’est ce que propose de découvrir la CASDEN Banque populaire, banque coopérative de la Fonction publique, à travers les résultats d’un sondage réalisé en mai 2020 et dont voici les principaux enseignements.
- Alors que la crise a bouleversé le quotidien et les habitudes de chacun, un quart des fonctionnaires estime avoir été en première ligne dans la lutte contre le coronavirus (26%). On retrouve bien sûr des résultats particulièrement élevés au sein de la Fonction publique hospitalière (56%) et parmi ceux qui ont continué à se rendre sur leur lieu de travail (50%).
- La crise sanitaire a contribué à enrichir l’image que l’ensemble des agents du secteur ont d’eux-mêmes, lesquels ont été près des trois-quarts à s’être sentis fiers de leur mission (73%) et utiles (72%). Toutefois, seuls 37% se sont sentis reconnus par la société et 31% valorisés. Les agents de la Fonction publique hospitalière (FPH), malgré leur positionnement en première ligne face à cette crise, sont les plus positifs sur leur ressenti.
- La Fonction Publique Hospitalière a subi de plein fouet la pression de la crise sanitaire. Majoritairement présents sur leur lieu de travail à haut risque, les agents de la FPH ont ainsi été ceux qui ont le moins bien vécu la période (67% l’ont bien vécue contre 71% des agents de la FPE et 78% de ceux de la FPT). Ils ont aussi été 75% à affronter un manque de protection dans le cadre de leur travail (contre 66% pour l’ensemble des fonctionnaires) et 70% un manque de moyens. Suite à ces événements, ils sont 69% à se déclarer pessimistes concernant leur avenir en tant qu’agents de la Fonction publique et 12% à vouloir se réorienter à la fin de la crise.
- Globalement, les enseignants se montrent moins positifs que la moyenne des agents de la Fonction publique. Ils sont ainsi 37% à déclarer avoir mal vécu la période. Sur des points plus précis, 77% d’entre eux affirment avoir manqué d’informations durant la crise, 68% ont manqué de moyens pour effectuer leur travail et 64% à avoir eu des difficultés à concilier vie privée et professionnelle dû au télétravail.
- Les espoirs d’amélioration liés à la crise sanitaire sont en légère majorité parmi les agents de la Fonction publique. Alors que 55% d’entre eux tendent à penser qu’elle aura permis d’améliorer leur image auprès des Français, ils sont plus rares à estimer que cela aura un impact positif sur leurs conditions de travail (34%) ou sur son fonctionnement (41%).
« L'enquête met en lumière l’engagement des millions d’agents qui se sont mobilisés, chacun.e à sa manière et bien souvent au-delà de leurs repères professionnels habituels, estime Pour Fabien Tastet, Président de l’Association des Administrateurs Territoriaux de France (AATF). Je pense à une collectivité où le service des sports s’est mobilisé pour aider à mettre à l’abri les citoyens sans logement pendant le confinement, mais des exemples comme celui-ci sont innombrables. Le télétravail va aussi représenter une évolution majeure de nos rapports sociaux. Et les collectivités locales ont su innover pour adapter, avec beaucoup d’agilité, leurs services aux besoins de la population. C’est pourquoi réaliser un véritable retour d’expérience est décisif pour tirer les enseignements de cette gestion de crise. L’AATF s’y attelle actuellement avec ses partenaires, pour mieux penser, aux côtés des élus locaux, le monde territorial de demain. »
Les Français ont une bonne opinion des départements
Alors qu’une étude ifop publiée en 2015 révélait que 52% des Français souhaitaient la suppression de l’institution départementale, il semblerait que leur regard ait évolué. 80% des Français déclarent aujourd’hui avoir une bonne opinion des départements comme le révèle une enquête menée par le Département de l’Essonne sur l’institution départementale.« Cette étude montre l’utilité des départements aux yeux des Français qui aiment leur département, se félicite François Durovray, président du Département de l’Essonne. Ils ont confiance dans l’avenir des départements et les trouvent utiles ». Selon l’étude, 87% des Français se disent satisfaits de vivre dans leur département, non pas d’un point de vue institutionnel mais d’un point de vue de plaisir de vie. Concernant l’action du département, 9 personnes sur 10 la jugent positive et 75% déclarent être attachés à cette institution. En revanche, lorsqu’ils sont interrogés sur l’action des départements, l’institution est associée à juste titre à des compétences qui touchent directement le quotidien des citoyens mais un certain nombre de leurs missions ne sont pas clairement identifiées analyse de Jean-Daniel Lévy Directeur du Département Politique & Opinion chez Harris Interactive. « En effet, si les collèges, les transports scolaires, l’action en faveur des personnes âgées et de l’enfance sont identifiés comme des actions prioritaires des départements, d’autres actions qui pourtant s’inscrivent dans une action de politique départementale ne le sont pas, notamment celles qui renvoient à la mobilisation de moyens financiers importants. Parmi celles-ci, deux sont clairement à mettre en avant : le RSA et l’aide économique en faveur des entreprises en difficulté ». Concernant la gestion de la crise du coronavirus par les départements, 59% des Français estiment que leur département a eu un rôle utile dans le cadre de l’épidémie (contre 69% pour les communes et 51% pour l’Etat). Pendant cette période, l’institution départementale a su prouver son utilité à travers les commandes de masques groupées, la mise à disposition d’outils numériques auprès des collégiens, des enseignants et des Ehpad ou encore l’installation de services de télémédecine. Plus modestes dans leur communication et dans la présentation qu’ils font de leurs actions, les départements sont moins bien identifiés que d’autres acteurs. Pourtant une chose est sûre, nos concitoyens comptent sur les élus départementaux.
L’Ademe et le CSTB proposent d’imaginer les bâtiments de demain
Changement climatique, développement du numérique, évolution des modes de vie et du travail, vieillissement de la population, mutations des territoires, …l'adaptation du parc de bâtiments au contexte et aux besoins de demain s’annonce comme le grand défi des acteurs de la construction et de la rénovation. Imaginer ensemble les bâtiments de demain : c’est la démarche de prospective collective que lancent ensemble l’Ademe et le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB) pour identifier les différents scénarios possibles pour l'évolution du patrimoine immobilier de la France. Avec une première étape pour identifier les facteurs clé qui influenceront l'évolution du patrimoine immobilier. La seconde étape consistera, elle, à déterminer comment chacun de ces facteurs peut influencer les futurs possibles. Lors d’une troisième étape, seront élaborés différents scénarios globaux d'évolution. Tous les acteurs de la construction sont invités à participer à la démarche en répondant à une enquête en ligne jusqu'au 24 mai 2020.
Projet de loi « 3D » : l’APVF lance une grande enquête
Dans le cadre de la concertation sur le futur projet de loi «3D» (décentralisation, différentiation, déconcentration) lancée en janvier par la Ministre de la Cohésion des Territoires, Jacqueline Gourault, l’Association des Petites Villes de France (APVF), présidée par Christophe Bouillon, Député de Seine-Maritime, vient de lancer une grande enquête auprès des élus des petites villes. Il s’agit notamment de mieux connaitre et comprendre les attentes des petites villes en matière de décentralisation et de porter des propositions cohérentes dans les mois à venir lors des discussions que l’APVF aura avec le Gouvernement et le Parlement. « Transferts de compétences, fiscalité locale, droit à l’expérimentation, relations communes- intercommunalités, revalorisation des indemnités des élus les préoccupations et questionnements des élus des petites villes sont nombreux » précise l’APVF.
Les Bretons consultés sur leur avenir
Qualité de vie, environnement, emploi et solidarité. Voici les quatre enjeux inhérents aux grands défis du territoire et à l’action territoriale sur lesquels 40.000 Bretons seront interrogés pendant deux mois, à compter du 16 décembre, dans le cadre de la plus grande consultation citoyenne jamais réalisée sur le territoire. Cette opération expérimentale réalisée dans le cadre de la Breizh Cop, en partenariat avec la Région Bretagne et l’Etat, et financée par la Banque des territoires, vise à mieux connaître leurs attentes et à les associer davantage à l’action collective et à l'élaboration des futures politiques publiques. Les Bretons seront invités à faire des propositions sur quatre questions ouvertes, via une campagne de recrutement sur les réseaux sociaux menée sur une base représentative de la population bretonne. Les résultats donneront lieu à des ateliers de travail spécifiques avec des contributeurs et des acteurs locaux pour co-construire les réponses qui pourraient être apportées en termes d’actions concrètes. « Cette vaste consultation s’inscrit dans la dynamique de notre Breizh cop, précise le président de Région Loïg Chesnais-Girard. Cette démarche participative associe déjà depuis deux ans de nombreux acteurs locaux et citoyens, dans le but de définir ensemble un projet durable de territoire à horizon 2040. »
Les Français font confiance à leur maire
Une enquête AMF-CEVIPOF/SciencesPo menée en partenariat avec l’Association des maires de France (AMF), dans le cadre de l’Observatoire de la démocratie de proximité, prouve une fois de plus que le maire reste l’une des personnalités préférées des Français avec le niveau de confiance le plus élevé (71%) devant l’ensemble des autres élus locaux ou nationaux. Et ce n’est pas seulement le lien de proximité qui est recherché. En effet, quelle que soit la taille de la commune, les quatre premières qualités attendues d’un maire sont l’honnêteté (40%), le respect des promesses (19%), la proximité (18%) et la compétence (14%). Autre enseignement de l’enquête, les 15308 personnes interrogées manifestent un large sentiment positif sur le bilan des maires et de leur équipe municipale à quelques mois des échéances électorales. Pour 75% des répondants, le maire a accompli un excellent travail (12%) ou bon (63%). Enfin, 61% des personnes interrogées souhaitent que leur maire soit candidat à l’élection municipale de mars 2020. Un taux qui varie selon la taille de la communes allant de 57% pour les communes moyennes (10 à 50.000 habitants) à 67% pour les communes rurales de moins de 2000 habitants.
Enquête : les villes moyennes engagées dans la transition écologique
A la suite d’une enquête menée auprès de 41 intercommunalités et 45 communes, le Commissariat général à l’égalité des territoires (CGET) dresse un panorama des villes moyennes qui se saisissent de la transition écologique, au-delà des questions de climat et d’énergie. Exemples à l’appui, l’enquête révèle que de nombreuses villes moyennes ont pris la mesure de l’enjeu écologique et qu’elles inventent des solutions innovantes et adaptées aux problématiques spécifiques de leur territoire : plateforme de covoiturage, infrastructures dédiées aux vélos, approvisionnement des cantines en produits bio et locaux, soutien à l’installation de maraîchers, sensibilisation des écoliers à la biodiversité sur le territoire, installation de panneaux solaires sur les bâtiments publics, mise en place de réseaux de chaleur alimentés par des ressources locales, création d’espaces de troc dans les déchetteries...
Les villes s’engagent pour la biodiversité
Pour sa 8e étude, l’Observatoire des villes vertes s’est associé à la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) pour interroger les responsables d’espaces nature en ville sur la façon dont les communes les plus engagées sur le front du « vert en ville » intègrent la préservation de la biodiversité. Les résultats de cette étude sont sans appel : à moins d’un an des élections municipales, toutes les villes enquêtées déclarent déployer une politique en faveur de la biodiversité. Concrètement, la totalité des villes interrogées ont déjà inventorié la faune et la flore présentes sur leur territoire, et plus de la moitié ont mis sur pied un plan Biodiversité. A l’image de la ville de Limoges qui fait de la protection de la biodiversité sa priorité dans le cadre de « l’Agenda 2030 » qui comporte 17 autres objectifs de développement durable. Ou Nantes qui a mis en place un « Comité d’experts » dédié à la biodiversité de la ville, ainsi qu’une « Commission biodiversité » trimestrielle pour accélérer la mise en place de solutions concrètes.
www.observatoirevillesvertes.fr
Le plébiscite des Français pour plus d’accessibilité
Face à l’enjeu du vieillissement de la population et pour favoriser le maintien à domicile le plus longtemps possible, 79% de Français jugent l'installation d’un ascenseur nécessaire pour les immeubles de moins de 4 étages (+ 5 points par rapport à 2017). C’est le résultat d’une enquête de la Fédération des ascenseurs réalisée avec Ipsos. Plus globalement, 87% d’entre eux jugent que l’installation d’un ascenseur dans les futurs bâtiments à construire de moins de 4 étages est importante voire essentielle. Tout comme leur logement, l’équipement des lieux publics en ascenseurs est un vrai enjeu pour les Français dans leur vie quotidienne, avec un besoin de davantage d’ascenseurs, escaliers mécaniques et trottoirs roulants, pour une meilleure accessibilité. Sont cités en premier lieu les centres sportifs (66%), les universités/écoles (62%), les administrations (57%) ainsi que les transports en commun (53%).Ceux qui sont suffisamment équipés à leurs yeux sont lesaéroports (79%), les immeubles de bureaux (74%),les centres commerciaux (69%) et les parkings (62%).