Le sport investit l’espace public. Objectif pour les collectivités: offrir des équipements de proximité afin de promouvoir l’activité physique au plus grand nombre et au service de la santé publique. Et pour la première fois, une circulaire interministérielle publiée au Journal officiel, le 1er juillet, inscrit le sport à des fins d’inclusion sociale dans les […]
Un véritable phénomène de société : plus de 13 millions de Français s’adonnent régulièrement au running, à la quête de bien-être et de lien social. Une aubaine pour les collectivités, car les compétitions de running apparaissent comme un moteur d’attractivité économique et touristique.
Alors qu’elle a perdu 30 % de ses exploitations sur les quatre dernières décennies, la première région céréalière de France peine à gagner en rentabilité. Mais grâce au soutien du Conseil régional, le secteur agricole a entamé sa transformation pour répondre aux plus près aux nouveaux enjeux économiques et environnementaux.
L’agriculture locale doit se diversifier pour subsister. Parmi les pistes envisagées, la restauration collective. Et pour cause, les produits locaux et biologiques sont de plus en plus plébiscités par les collectivités.
DÉCOUVERTE. Deux bâtiments de verre de plusieurs étages forment la « cité maraîchère », où seront produites, chaque année, 12 t de fruits et légumes, 4 t de champignons, des fleurs ou encore des semences sur une surface de 1000 m2. De quoi nourrir 200 familles, mais aussi approvisionner des restaurateurs.
La transition énergétique et écologique, ainsi que la dynamique du secteur du bâtiment dans la région francilienne, sont de formidables opportunités pour les agriculteurs de diversifier leurs revenus. En effet, avec la production de matériaux dits « biosourcés », c’est aujourd’hui l’agriculture qui fournit les ressources nécessaires à la construction de villes plus durables. Et […]
Le thermalisme constitue un véritable fer de lance des territoires, notamment grâce aux casinos, bien souvent le premier contribuable de leur commune d’accueil. Mais pour conforter leur attractivité, les 89 villes thermales doivent imaginer de nouvelles offres et investir dans de nouveaux équipements. Un chantier qui a démarré dans bon nombre de communes.
Avec une hausse de 7 % par an, la fréquentation des stations augmente. Une aubaine pour les régions thermales françaises qui peaufinent leurs stratégies de développement et affichent leurs ambitions, dans un secteur qui cherche à se moderniser et se structure davantage.
Plus d’un siècle après le jaillissement de la première source, le thermalisme refait surface dans la cité ducale. Avec la reconstruction du Grand Nancy Thermal, et son offre complète centrée sur la détente et la santé, la métropole lorraine se positionne comme le nouvel acteur clé du réseau de villes thermales du Grand Est.
EXPLICATION. Le gouvernement se dit résolu à procéder à la privatisation de la FDJ. Cette décision, qui fait suite à l’adoption de la loi « Pacte », et qui vise à mettre en œuvre le programme Entreprises et innovation, inquiète sérieusement les casinotiers. Au-delà de la démultiplication des risques d’addiction et de blanchiment d’argent, cette […]
Depuis l’appel de l’abbé Pierre, en 1954, la question du mal-logement n’a jamais été réglée en France. Elle reste encore, aujourd’hui, au cœur des préoccupations des Français. Trop chers, même les logements intermédiaires deviennent inaccessibles face à une demande explosive. Certains maires s’attellent à trouver des solutions ponctuelles, mais efficaces.
Sous l’impulsion des pouvoirs publics, le prix des terrains a triplé en une décennie dans les zones tendues. Une densification qui coûte cher aux Français, selon François Rieussec, président de l’Union nationale des aménageurs. Rencontre.
Se loger décemment. Une revendication formulée par un grand nombre de Français, principalement dans les métropoles, où les prix des loyers ont connu une hausse fulgurante ces dernières années, affectant fortement le pouvoir d’achat des candidats à la location.
S’inspirant du modèle des « Maisons à 1 livre de Liverpool », le maire propose de réhabiliter les logements anciens dégradés, apportant une réponse à la vacance qui représente 12 % du parc de la ville et à la pénurie de logements.
« Fabriquer, consommer, jeter », ce modèle linéaire n'est plus à l'ordre du jour. Le projet de loi d'économie circulaire, dont les discussions parlementaires démarreront au printemps, entend poser les bases d'un schéma nouveau qui fera de nos déchets de nouvelles ressources et sanctionnera plus sévèrement les dépôts sauvages.
La loi du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte a fixé le cap. D'ici 2025 le traitement des déchets alimentaires sera obligatoire. Charge aux collectivités de proposer des solutions de proximité de tri à la source en vue d'assurer leur valorisation.
Le Syctom, acteur public majeur de la gestion des déchets en Île-de-France, lance l'opération de reconstruction de l'un des plus grands centres de traitement de déchets de la région parisienne, mis en service en 1969. Immersion dans le futur complexe qui s'inscrit dans un paysage urbain en pleine mutation.
Espaces naturels, routes, cours d'eau, plages ou centres urbains, tous les espaces sont concernés par l'abandon sauvage de déchets. Un phénomène qui génère des impacts environnementaux, sociaux et économiques importants et dont l'ampleur inquiète de plus en plus les élus.
Les espaces végétalisés s'imposent peu à peu comme levier d'action pour adapter nos villes face au changement climatique. Les solutions fondées sur la nature démontrent leurs nombreux bienfaits en matière de biodiversité, d'atténuation des dérèglements climatiques, de gestion de l'eau ou comme rempart contre la pollution de l'air.
La création et l'entretien d'infrastructures vertes au sein des villes contribuent à la création de richesses économiques. À cela s'ajoutent des emplois directs et indirects liés à une meilleure attractivité démographique, touristique et économique des villes et des quartiers.
Bonjour, comment gérez-vous les véhicules ventouse ? Malgré le signalement à la gendarmerie, le propriétaire ne déplace pas son véhicule. Si nous appelons la fourrière les frais seront pour la commune. Merci pour vos conseils.
Réponses :
Avoir nos rues avec des voitures poubelles qui les encombrent et prennent des places de stationnement n’est terrible. Il n y a pas de solution miracle. Quand il y a une plaque d'immatriculation : appel à la gendarmerie, identification du propriétaire (souvent en région parisienne), recommandé, délai d’un mois pour répondre. Sans réponse et selon l’état de la voiture, prise de photos, constat rédigé par mes soins et épaviste... Je préfère ne pas faire payer les habitants de mon village.
Nous sommes élus et nous nous devons de rester dans la légalité. Je crois qu'il faut identifier le propriétaire du véhicule et lui envoyer un courrier recommandé en l'obligeant à enlever son véhicule sinon le véhicule sera mis en fourrière et les frais seront à sa charge. Si les élus ne respectent pas les lois, c'est donner une mauvaise image de nous et nous ne devons pas être étonnés si nous sommes de moins en moins respectés.
Inscrivez-vous dès maintenant sur le groupe Facebook Paroles de Maires pour obtenir des informations quotidiennes sur l'actualité de vos missions.